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SEXE ET COMMERCE
27 février 2007

SOIREE FLEUR BLEUE

Après la soirée sexe de vendredi soir, je me prépare pour une soirée Fleur bleue. La journée a été ponctuée de visites d’appartements, suivies d’une séance au Club Med Gym. Je suis exténué.  Mais bon la demande féminine l’exige, je dois être au top ce soir. Après une méticuleuse préparation et une « danse de pouvoir », effectuée sur « Exceeder » de « Mason », je me dirige vers le quartier de la Bourse pour un « Japonais » de renom.
J’y retrouve Sophie, aphone mais souriante : la séance de séduction peut commencer.
C’est très simple de séduire une fille aphone, elle vous écoute, vous parlez, vous vous vendez, vous la complimentez sans en faire trop, vous parlez de vos projets, de votre passé d’aventurier (si, si j’ai un passé d’aventurier), un zest de politique parce ça fait garçon impliqué en période électorale (par contre évitez de parler politique si vous votez « Jean-Marie ») et pas mal de citations de lieux tendance où il faut aller. Bref, après tout cela, la belle retrouve la voix comme par miracle et me propose, pour continuer cette soirée « fleur bleue » d’aller au… Pink Paradise !!! Je suis le seul type que je connaisse à qui les filles proposent d’aller soit en boite à strip-tease, soit en soirées échangistes : il y a des destins comme ça !
Pour ceux qui ne sont pas de Paris, le fameux endroit est une boite à strip-tease où Sophie doit rejoindre une amie (une autre ex Miss) : j’hallucine mais je m’avoue partant. Je suis comme ça, je ne peux pas dire non à de telles propositions.
Nous y voilà donc au temple de la frustration, l’endroit même où des filles au corps hallucinant vous proposent une danse privée avec interdiction de toucher. La fameuse copine, oeuvrant dans le lieu nous y accueille, nous place parmi ses copines, toute demi vêtues, je suis « dur », très « dur » d’autant que ma partenaire se rapproche de mon corps rendu incandescent par le spectacle. J’effectue malgré tout mon « visu sociologique » du public : peu de femmes évidemment, des beauf argentés au look de commerciaux, des hommes mariés en permission, des styles « qui brillent » très « Neuilly-Passy-Deauville »… Anyway. Et puis beaucoup de filles dévêtues ici et là au milieu des clients, les danseuses. J’ai le temps d’apprécier des physiques stimulants, des corps graciles, des seins imposants et fermes, des bouches et des cambrures invitantes…
Comme Sophie me laisse quelques minutes pour parler à sa copine, je suis bien sûr « ciblée » par une puis deux puis cinq ondines « rémunérées » me proposant, et en Espagnol, et en Anglais et avec l’accent « Europe de l’Est » d’effectuer un show privé.
En fait, le montant de l’entrée est assez modique, les garçons y viennent « matter » une fille dansant mollement au milieu de la piste mais le business n’est pas là. Le business réel du club ce sont les filles qui passent de table en table pour se faire offrir une coupe de champagne dont la bouteille est à trois cent soixante euros ou pour proposer un show privé à cent vingt euros… A la dernière, une Française qui me propose la séance de frustration, je réponds : « Non merci ma belle, je suis avec ma « girlfriend » et je touche toujours sans jamais payer ! » Elle sourit jaune pour se diriger vers un groupe de beaufs.
La « Miss », revient enfin, je lui fait un « debrief » de mes impressions sur la place et nous décidons de partir.
En sortant, nous nous embrassons enfin. Elle embrasse plutôt bien.
Nous décidons malgré tout d’en rester là ce soir, c’est quand même une soirée « fleur bleue » !

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Commentaires
J
L'immobilier de l'ouest parisien fait la une de la campagne électorale... Et puisqu'à petites doses ce n'est pas contradictoire avec la séduction, on peut avoir le point de vue d'un spécialiste?
C
Je ne sais pas si ça manque de classe, mais c'est très intéressant... Vivement la suite!
H
Hum ... Ca commence mal pour un premier rendez vous avec sa future femme censée être une "Star" ^^<br /> à usage de valorisation sociale.<br /> Ca manque de classe tout ça.
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